Une femme au bord de la crise de la quarantaine, perdue quelque part entre Simone de Beauvoir et John Travolta, entre Patrick Swayze et Agnès Varda… Chloé Oliveres rejoue ses amours réelles et imaginaires, avec beaucoup d’autodérision, le sens du tragique, une chanson en yaourt, quelques personnages, et pas mal de danse lascive.
Un régal de spectacle, drôlissime, subtil, revigorant.
Le Monde