Ce petit concert de poche esquisse un trait d’union entre la tradition orale des djelis (griots), incarnée par l’immense chanteuse malienne Mah Damba, et le toucher du violon de Clément Janinet, à la fois contemporain et imprégné des violons traditionnels d’Afrique de l’Ouest. Les chants de Mah, fidèles aux traditions mandingues, s’envolent puis se posent sur les cordes du soku occidental (violon monocorde malien). Un duo chavirant qui dessine de nouveau paysages sonores.